05. Papillotes 2011

En décembre, et en guise de bilan de l’année 2011, Merlanfrit vous offre une papillote par jour, fragments chocolatés de l’année vidéoludique écoulée.

Du hors course au hors bourse, il n’y a qu’un pas.

Après avoir vendu des années durant ses RPG vieille école à un petit cercle de fans, en 2011 Jeff Vogel a décidé de rendre plus accessible sa production, en baissant ses prix. Le joueur a tout à y gagner.

Après les prémices d’Internet de Digital, Christine Love imagine en 2011 le futur proche du réseau. L’écriture reste admirable mais l’interactivité s’est perdue en route.

Séjour luxueux idéal pour ceux qui recherchent le calme et la tranquillité. Haches et masses d’arme conseillées.

En 2011, les zombies sont devenus aussi pullulants, aussi agaçants, aussi répugnants qu’ont pu l’être les mascottes poilues au milieu des années 90.

Driver, la bonne surprise de l’année, mettre un tigre célesto-cosmique dans son moteur, pour un retour gagnant.

Ghost Trick nous emmène dans l’au-delà, dans la peau d’un justicier-poltergeist.

Idéalisation du vertige visuel, du genre détourné, de l’archétype pur. Et si le film Drive de Nicolas Winding Refn était l’un des grands moments de jeu vidéo de l’année 2011 ?

On encense souvent les Uncharted pour leurs personnages. Coup d’oeil et coup de chapeau à Elena.

Laissez tombez les Sims et allez donc expérimenter ce que c’est que la vie, la vraie, Cart Life.