GamePolitics ferme ses portes

Un site vidéoludique majeur disparaît, témoin d’une époque qu’on ne regrettera pas. Faut-il pour autant l’oublier ? Voilà qui serait regrettable.
Un site vidéoludique majeur disparaît, témoin d’une époque qu’on ne regrettera pas. Faut-il pour autant l’oublier ? Voilà qui serait regrettable.
Alors que l’année 2011 promettait d’être explosive (School Shooter, fusillades en Norvège, vote de la Cour Suprême sur une loi "anti-jeux violents"...), contre toute attente, elle n’a engendré que des pétards mouillés, au point que la controverse sur la violence s’est réduite à peau de chagrin, et n’a plus jamais retrouvé sa gloire d’antan.
Un opposant à la violence vidéoludique vient d’être arrêté pour corruption et trafic d’armes. On peut s’en réjouir. Moi pas (note : cet article a été publié à l’origine sur Gaming Since 198x).