Indie

C’est le week-end surprise spécial Pirate Kart sur Merlanfrit ! Déballons ensemble le grand mezze du micro-jeu indépendant !

Tiens, encore un jeu de plates-formes avec des puzzles et une direction artistique étrange. Le centième. Le millième peut-être depuis Braid, l’un des premiers grands succès indés. On pousse un soupir et on lance le jeu.

Shadowrun revient, pour notre plus grande indifférence.

Sandbox, Platformer, Rogue-like, Méta-puzzle... Starseed Pilgrim est avant tout ce que vous voulez bien vous donner la peine d’y voir et d’y comprendre.

En haut de l’écran, il y a l’interminable file des prétendants à l’entrée. Je presse sur le haut-parleur, une silhouette s’avance, à gauche le rideau de fer de ma guérite s’ouvre et me révèle un visage. Papiers, s’il vous plaît.

La nouvelle peste noire s’appelle Jelly no Puzzle. N’y jouez pas. C’est le diable. Le fils du diable. Sa mère la pute.

Seconde partie du road-trip qui conduira Pierre à la Kentycky Route Zero

Quand les mots manquent pour évoquer les vertus d’un jeu, il reste la fiction.

Kentucky Route Zero met son surréalisme au service d’une plongée dans l’inconscient d’une Amérique en crise et de ses marginaux.

Accablé sous le nombre des sorties, le joueur le plus gourmand risque l’indigestion de jeux indés. Il faut dire que beaucoup de développeurs ne font guère d’efforts pour se distinguer du lot.

Avec Rise of the Videogame Zinesters, Anna Anthropy délivre une belle apologie du jeu vidéo amateur, aussi convaincante que personnelle.