Joueurs, encore un effort

Certains s’inquiètent de l’omniprésence des questions de société dans le débat actuel sur le jeu vidéo. Mais est-ce vraiment là que se situe le problème ?
Certains s’inquiètent de l’omniprésence des questions de société dans le débat actuel sur le jeu vidéo. Mais est-ce vraiment là que se situe le problème ?
Dark Souls nous invite à un voyage aussi ardu qu’exaltant. Il nous oblige à adopter une méthode d’évitement, à contourner, à nous caparaçonner, à emprunter la démarche du crabe.
Trouver une chute de papier bulle, s’en emparer, et compulsivement en éclater les vésicules, une par une, entre le pouce et l’index, afin produire à chaque fois un satisfaisant ploc. C’est à peu près l’expérience que nous offre Avalanche Studios avec Just Cause 2. Et si, sous des dehors de bourrin décérébré, se cachait un des jeux les plus subtilement jouissifs de ces dernières années ?
Miraculé après 5 ans de développement, Deadly Premonition est un des plus indispensables underdogs.
Kane & Lynch, répugnants antihéros. Mais qui sommes-nous pour les juger ? Et si Dog Days constituait avant tout une mise à nu des plus bas désirs du joueur ?
Précurseur du survival horror, Alone in the Dark tentait sa renaissance en 2008, avec un titre aussi pavé de bonnes intentions que l’Enfer.
Alice : Madness Returns, le jeu et Sucker Punch, le film : deux œuvres injustement boudées par la critique, deux scénarios étrangement parallèles, pour une exploration en apnée de l’aliénation mentale féminine. Attention spoiler.