À la botte - commentairesÀ la botte2013-10-11T09:18:33Zhttp://www.merlanfrit.net/A-la-botte#comment34692013-10-11T09:18:33Z<p>@ShedaoShai : on peut y ajouter les coûts financiers induits par les énergies fossiles, bien plus faibles que ceux des esclaves (qu'il faut quand même loger, nourrir, et protéger du froid).</p>À la botte2013-09-26T12:30:39Zhttp://www.merlanfrit.net/A-la-botte#comment34122013-09-26T12:30:39Z<p>"Celle qui nous fait dire, même pour rire, que l'esclavage, c'est quand même bien pratique."</p> <p>Juste une précision au sujet de l'esclavage, victoria se situe au moment de sa disparition progressive et cela est bien repris dans le jeu. Les esclaves produisent mais ne consomme pas, ils ne sont donc pas économiquement rentable et mieux vaut les libérer le plutôt possible afin d'en faire des classes pauvres. De même l'esclavage joue sur l'immigration, le supprimer faisant passer notre pays pour plus moderne et attractif. Se sont donc des considérations de rendements et d'efficacité qui pousse le joueur à supprimer ce vestige des économies près-industriels et non pas par humanisme. ^^</p>À la botte2013-09-26T03:09:10Zhttp://www.merlanfrit.net/A-la-botte#comment34112013-09-26T03:09:10Z<p>Jules Verne c'est un peu le grand-père de tout le <i>steampunk</i>, non ? Il n'y a qu'à voir <i>Robur le conquérant</i> ...</p>À la botte2013-09-25T12:45:49Zhttp://www.merlanfrit.net/A-la-botte#comment34092013-09-25T12:45:49Z<p>À l'époque de Bioshock premier du nom, j'avais déjà tilté sur Les 500 millions de la Bégum... même si finalement c'est plus Bioshock Infinite qui semble s'en approcher. Si j'y joue un jour, je relis le livre, promis.</p>À la botte2013-09-25T12:31:16Zhttp://www.merlanfrit.net/A-la-botte#comment34072013-09-25T12:31:16Z<p>Dans le genre, chez Jules Verne il y a aussi les <i>500 millions de la Bégum</i>, qui est un roman assez amusant à lire. Grâce à un improbable héritage, deux villes sont fondées sur la côte Ouest des USA : le philanthrope français crée l'utopique Franceville, le méchant allemand Stahlstadt une cité-usine où l'on construit des canons.</p> <p>C'est atrocement daté, ce qui fait tout le charme du bouquin, avec ses grandes considérations sur la race germanique Vs la race latine alors que la France a du mal à digérer 1870 — le livre a été publié en 1879. Evidemment à la fin c'est un alsacien pauvre mais méritant qui déjoue les plans machiavéliques du teuton.</p>