Editorial
Pour le jeu mineur
Et si à l’heure de la standardisation croissante des productions grand public, on jetait un regard complice aux vilains petits canards bisseux ?
Et si à l’heure de la standardisation croissante des productions grand public, on jetait un regard complice aux vilains petits canards bisseux ?
Editorial
Et si à l’heure de la standardisation croissante des productions grand public, on jetait un regard complice aux vilains petits canards bisseux ?
« More an exercise in frustration than fun » : dans sa review pour allgame.com, Earl Green a tout dit. Ce Chuck Norris Superkicks de 1983 a tout de l’underdog. Il mord plus qu’il ne caresse. C’est quoi un jeu vidéo qui n’est pas fun ?
Miraculé après 5 ans de développement, Deadly Premonition est un des plus indispensables underdogs.
Le parcours d’une résistante, Violette Summer, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Une lutte sans espoir, des idéaux brisés.
Cette petite bombe vidéoludique, second jeu avec le rappeur 50 cent, a été trop souvent ignorée car jugée commerciale et stupide. Pourtant ce bon petit TPS des familles a plus d’une grenade dans son baggy.
Kane & Lynch, répugnants antihéros. Mais qui sommes-nous pour les juger ? Et si Dog Days constituait avant tout une mise à nu des plus bas désirs du joueur ?
Précurseur du survival horror, Alone in the Dark tentait sa renaissance en 2008, avec un titre aussi pavé de bonnes intentions que l’Enfer.
Alice : Madness Returns, le jeu et Sucker Punch, le film : deux œuvres injustement boudées par la critique, deux scénarios étrangement parallèles, pour une exploration en apnée de l’aliénation mentale féminine. Attention spoiler.
Poursuivi par une réputation de nanar et un tsunami, Raymond Bryce, le héros de Disaster : Day of Crisis n’a sans doute pas de chance et méritait mieux qu’un désaveu de Nintendo.