Editorial
Pour le jeu mineur bis
Où le Merlan souffle sa première bougie, avec quelques outsiders partis de beaucoup trop loin sur la grille de départ.
Où le merlan soufflait sa première bougie, avec quelques outsiders partis de beaucoup trop loin sur la grille de départ.
Où le merlan soufflait sa première bougie, avec quelques outsiders partis de beaucoup trop loin sur la grille de départ.
Editorial
Où le Merlan souffle sa première bougie, avec quelques outsiders partis de beaucoup trop loin sur la grille de départ.
Fahrenheit allie sur la forme de fausses bonnes idées et des promesses non tenues. Au niveau du fond il offre cependant du concret à se mettre sous la dent : un contenu Z aussi involontaire que généreux.
Une pom-pom girl chasseuse de zombies. Sérieusement ? Avec Suda51 aux manettes, le jeu de série Z réussit son passage dans la division mainstream.
Les meilleures dictatures sont celles qui vous laissent croire qu’il y fait bon vivre.
Nethergate (1999) et son remake de 2007, Resurrection, ont des production values absolument Z. Mais il ne faut pas s’y arrêter, et le joueur qui prendra le temps de franchir le voile des Sidhes risque fort d’être attrapé dans la toile de Jeff Vogel.
Être bizarre, des fois c’est pas bien. Mais des fois c’est bien. On peut donc dire sans trop prendre de risque que ça dépend des fois, quoi.
De l’ordre vers le chaos. Mayhem est sale, crasseux, agressif, ultra lo-fi et sans moyens. Et c’est bien de jeu vidéo que l’on parle.
Michigan : Report from Hell, escroquerie ou révolution mal branlée ? Un peu des deux sans doute.