The Elder Scrolls V : Skyrim

Décrire avec clarté le modding des Elder Scrolls reviendrait à cartographier l’Amazonie : impossible et vain. La diversité des communautés, le foisonnement des réalisations et la synergie exponentielle d’internet provoqueraient un suicide de masse chez les encyclopédistes. La seule (...)

Au programme : 12 (millions de) femmes en colère, quatre postmortems, Mars, la vie des lycéens japonais, des mods pour tuer des dragons dans les hautes herbes et l’histoire de la création du film Mario Bros !

Peut-on passer cent heures (et plus) sur un mauvais jeu ? La réponse évidente, naturelle même, est "non, ça n’a pas de sens". Pourtant Skyrim, cinquième épisode de la série phare de Bethesda, pose au joueur attentif et curieux ce dilemme bien étrange.

Faisant fi de la crise économique qui force les éditeurs à retirer les manuels des boîtiers de jeu, Bethesda offre à ses joueurs une carte de Bordeciel. Les rôlistes se régalent.

Lydia, la vierge guerrière au regard glacial, fascine bon nombre de joueurs de Skyrim. D’où provient cette attirance pour la femme-robot ?

Premiers pas à Skyrim : un décor aussi gigantesque que magnifique, mais dans lequel l’ennui menace de glacer notre voyageur. Comment peut-on s’ennuyer à Skyrim ?

La sortie de Skyrim le 11 novembre est l’occasion pour Merlanfrit de parler de l’exploration et de la liberté dans les mondes ouverts.